Le climat des affaires au Togo s’améliore nettement, suscitant un large consensus et une forte reconnaissance du secteur privé. Cette évolution positive reflète la vision stratégique du Président du Conseil, Faure Gnassingbé, qui place la transformation économique au cœur du développement national.
Lors de la réunion du Comité Technique de Concertation du CCESP tenue le 5 décembre à Lomé, les opérateurs économiques ont exprimé leur satisfaction face aux réformes en cours. Ces avancées contribuent à renforcer la confiance des investisseurs et à consolider la compétitivité du pays.
Climat des affaires : des réformes structurelles au service du secteur privé
Le climat des affaires bénéficie notamment des performances économiques remarquables enregistrées en 2025, avec une croissance du PIB réel estimée à 6,2% et une inflation maîtrisée à 0,9%. Ces chiffres ont été accompagnés de mesures fiscales ciblées, telles que la révision de la taxe TETTIC applicable aux sociétés de télécommunications et de technologies, ainsi que le gel temporaire des droits de douane sur l’importation de logiciels.
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Concrètement, ces initiatives allègent les charges pesant sur le secteur privé, favorisant ainsi la compétitivité et l’investissement local. En 2025, le secteur privé est ainsi devenu le premier investisseur de l’économie togolaise, un fait salué par le ministre des Finances et du Budget, Essowè Georges Barcola, qui a souligné l’engagement constant du Président Faure Gnassingbé en faveur du développement économique.
Climat des affaires : un partenariat renforcé entre l’État et les entreprises
Pour pérenniser cette dynamique, le climat des affaires appelle à un renforcement du partenariat entre l’État et les acteurs économiques. Le président de l’Association des Grandes Entreprises du Togo, Jonas Daou, a exhorté à une collaboration plus étroite, mettant en avant la disponibilité du gouvernement pour accompagner le secteur privé.
Le dialogue initié entre les deux parties est perçu comme le fondement d’une relation de confiance et d’échanges mutuels. Le ministre Barcola a insisté sur la nécessité de bâtir un partenariat fondé sur un apport véritable réciproque. Cette alliance s’inscrit dans la vision du Président du Conseil et constitue une condition essentielle pour soutenir la croissance et l’émergence économique du Togo.
Alida AKAKPO







